UNE AUTRE PAGE D'HISTOIRE SUR EL-AOUANA EX: CAVALLO
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- Catégorie : Histoire
- Création : mercredi 3 juin 2020 10:17
- Mis à jour : mercredi 3 juin 2020 11:43
- Publication : mercredi 3 juin 2020 11:40
- Écrit par MedSouilah
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La commune de Cavallo a été crée par décision en 1887, qui comprenait le plan de la ville, constitué sur la base de 31 actions immobilières, et le 19 mars 1899, en application des articles 26/27 du 1er octobre 1844.
Un suivi administratif colonial a été annoncé pour l'expropriation et l'acquisition de propriétés accélérées à des fins d'intérêt public afin de créer le village connu Cavallo.
Que veut dire El-Aouana ?
elle est dérivé linguistiquement de "l'aide" et représente une activité commerciale basée sur le troc.
La superficie est de 127,94 kilomètres carrés. La population est de 15038 statistiques au dernier recensement.
La commune d'El-Aouana comporte environs 46 mechtas et villages. Je vous cite quelques unes:
Chahna. Madjrouda. Ghnimen. Bekkara. Amchid. El Horch. Laalaoucha. Ouled Bousaid. Bouzaguene. Grayawla. Aachira. Mesila. Ahmarmag. Goubia. Ksir aamrane. Bouaasli. El Anser. Nator. Amghaz. Chekrida. Dar ben kirat. hamza. moukoufa. lakhnak. lahbabcha. souk aouana. Echrait. kaa el djebel. boughoula. lamrayadj. akhalfa. taghnimt. communal. bouhdjem. seddadka. afouzer. laakiba. Bouyaakoub. ain adafel. filken. bouaazoune. dar belhanache. timrijane. cité 45 logts. kheddana. tabola. laakiba. zikara. marigha. dar lakdima. blida.
Maintenant pourquoi on l'appelle Cavallo ?
A mon avis cette appelation, est certes europenne, mais, c'est une pure traduction de l'arabe "Jazair el kheil" transcrite sur les anciennes cartes géographiques arabes et que les génois ont traduit intégralement pour donner le nom de Iles Cavallos d'où Cavallo...
et, pourquoi a t-on appelé ainsi ? tous simplement c'était le lieu d’embarcation des chevaux vers toutes destinations depuis l’Afrique vers l’Europe.
ALLEZ PASSEZ UNE BONNE JOURNÉE.
NB: CE SUJET RESTERA OUVERT POUR ENRICHISSEMENT.
Une vieille image de nos archives.
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- Catégorie : Histoire
- Création : mercredi 3 juin 2020 11:27
- Mis à jour : mercredi 3 juin 2020 11:39
- Publication : mercredi 3 juin 2020 11:27
- Écrit par MedSouilah
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Dans les années 70, les visiteurs étaient surpris par le paysage de la baie de Cavallo, à partir de Mezghitane...!
UNE BELLE PAGE D'HISTOIRE...
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- Catégorie : Histoire
- Création : mardi 2 juin 2020 12:00
- Mis à jour : mardi 2 juin 2020 12:06
- Publication : mardi 2 juin 2020 12:05
- Écrit par MedSouilah
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Photo souvenir de Zighoud. Le héros Zighoud Youcef, un des principaux dirigeants de la guerre d'indépendance, en est un. Mais l'habit du héros était aussi celui d'un chef «politico-militaire» exceptionnel. Un stratège qui a réinventé la guérilla urbaine, en combinant techniques de l'Intifadha et procédés militaires.
Membre des «22», adjoint de Didouche Mourad
Hommage à nos chouhadas El-Abrar, et à nos valeureux Moudjahidines
II- SUITE - Une autre page d'histoire: La bataille de "Faj Al-Tuffah" dans "Beni foughal". Djebel El-Ma El-Bared...
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- Catégorie : Histoire
- Création : vendredi 29 mai 2020 13:52
- Mis à jour : vendredi 29 mai 2020 13:54
- Publication : vendredi 29 mai 2020 13:52
- Écrit par MedSouilah
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Voyons la suite de notre page d'histoire, durant cette époque de la fin des années 50, début des années 60, la guerre faisait rage sur les hauteurs Jijellienne, devenues dans leurs majorité, des zones interdites. les forces coloniales d'occupation lançaient une opération militaire d'envergure baptisée “opération jumelle".
Ah ya Zamen ! Celui qui a vécue cette période, nous dira aujourd'hui, que l'indépendance s'arrache, elle se donne pas !
Le défunt Moudjahid Si Cherif raconte: Apres la bataille, nous avons également perdu le soldat nommé "24", que Dieu lui fasse miséricorde, et un soldat qui était notre frère "Merazka Mouloud", qui a été grièvement blessé au début de la bataille à cause d'une mitraillette, et, la blessure était sur le côté de l'estomac, où nous l'avons laissé dans un endroit caché dans la forêt, et nous avons continué à ramper derrière L'ennemi.
Quand nous sommes revenus vers lui, nous ne l'avons pas trouvé là où nous l'avons laissé, nous avons donc dit qu'il aurait pu se déplacer ailleurs... ici premiere partie
Nous nous sommes dispersés pour le rechercher, et l'avons trouvé à environ 300 mètres dans un état très grave, car ses entrailles sont sorties de son estomac en raison de l'expansion de l'ouverture de la plaie, qui était d'environ 4 cm de diamètre, et mélangée avec des herbes et des feuilles d'arbres secs, nous avons donc purifié ses tripes autant que nous le pouvions, puis nous l'avons insérée dans son estomac et l'avons amenée mont Djebel"Bouhanche", où se trouvent les infirmières, qui ont nettoyé son intestin intérieur des herbes et nettoyé ses blessures externes, puis l'ont reposé de l'autre côté et couvert ce trou de bande a gaz.
Par miracle, il a été sauvé, et avait rejoint le groupe à nouveau, en continuant sa lutte jusqu'à ce qu'il soit à nouveau blessé par balle à l'oreille, puis, il a de nouveau récupéré, alors qu'il est encore en vie à ce jour...
⭕️ A SUIVRE.../
Traduction: Souilah Med Jijelinfo
Témoignage du moudjahid le défunt Daghmoume Cherif dit Si Cherif Tighladane, en image ici https://jijel.info/…/100619567_572323673421491_707817960787…
من مذكرات المجاهد المرحوم دغموم الشريف المدعو السي شريف تيغلادان
Deux images et une longue histoire...
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- Création : jeudi 28 mai 2020 03:05
- Mis à jour : jeudi 28 mai 2020 13:18
- Publication : jeudi 28 mai 2020 06:05
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Il y a quelques temps, les habitants du village de Taden, dans le douar des Djezia, commune mixte d'Athia, découvrirent , sous les oliviers qui avoisinent le village, un petit canon que les eaux de pluie avaient mis à jour en ravinant le sol ? L'émotion fut assez vive chez les Ouled-Athia qui ne se connaissaient pas d'artillerie, et qui regrettèrent sans doute que la découverte ne se fût pas produite en d'autres circonstances, à l'époque où ils guerroyaient encore contre les Roumis. Parmi les vieillards de la tribu, nul ne se souvenait qu'un canon fût resté enfoui sous les oliviers de Taden, à l'endroit le plus fréquenté pourtant de tout le territoire des Djezia. Aussi les racontars allaient-ils leur train; et, l'imagination aidant, le canon défraya pendant plusieurs jours les conversations.
Une autre page d'histoire: La bataille de "Faj Al-Tuffah" dans "Beni foughal". Djebel El-Ma El-Bared.
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- Catégorie : Histoire
- Création : mardi 26 mai 2020 15:01
- Mis à jour : mardi 26 mai 2020 15:08
- Publication : mardi 26 mai 2020 15:01
- Écrit par MedSouilah
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Nous étions stationnés dans la mechta de "Goubia", au cœur des Benifoughales, qui était une zone interdite, et toutes nos maisons ont été détruites et dépourvues de ses habitants à l'exception de certains militants et de leurs familles.
Nous étions une division de l'Armée de libération nationale dirigée par le frère "Belhadj Mohamed", que dieu lui fasse miséricorde.
Le deuxième jour de notre arrivée dans le village susmentionné, la patrouille s'est rendue tôt le matin, comme d'habitude, à l'endroit stratégique appelé "El-ma el-bared" et, a tendu une embuscade.
Le jour venu, la patrouille, avait découvert la présence de l'ennemi à proximité, alors un soldat est revenu dans la division pour nous dire l'existence de l'ennemi, et nous nous sommes levés de notre sommeil...
Nous avons pris notre petit-déjeuner, alors il a dit au responsable de la division qui nous avait ordonné à l'époque de se préparer et de se rendre à l'endroit où se trouvait la patrouille. Nous nous sommes levés et nous sommes dirigés rapidement, et lorsque nous avons atteint l'endroit, le personnel ennemi est également arrivé et est entré dans l'embuscade et la bataille qui a duré une heure a commencé, l'ennemi nous a forcés à fuir vers le centre de Selma, alors nous l'avons poursuivi et poursuivi jusqu'à ce qu'il atteigne le sommet qui surplombe le centre de "Selma". Nous avons donc quitté le champ de bataille.
4 avions sont intervenus après cette opération, mais l'intensité de la forêt, les a empêchés d'atteindre leurs objectif.
Ils avaient commencés à envoyer des roquettes et des coups de feu de leurs mitrailleuses sans discernement sans nous révéler, et, elles été destinés à protéger leurs soldats qui sont entrés dans la terreur et la panique après que beaucoup d'entre eux ont été tués, car leurs pertes étaient importantes.
Nous avons également perdu le soldat nommé "24", que Dieu lui fasse miséricorde, et un soldat qui était notre frère "Merazka Mouloud", qui a été grièvement blessé au début de la bataille à cause d'une mitraillette, et, la blessure était sur le côté de l'estomac, où nous l'avons laissé dans un endroit caché dans la forêt, et nous avons continué à ramper derrière L'ennemi.
Quand nous sommes revenus vers lui, nous ne l'avons pas trouvé là où nous l'avons laissé, nous avons donc dit qu'il aurait pu se déplacer ailleurs... ⭕️ A SUIVRE..
Traduction: Souilah Med Jijelinfo
Témoignage du moudjahid le défunt Daghmoume Cherif dit Si Cherif Tighladane, en image ici
من مذكرات المجاهد المرحوم دغموم الشريف المدعو السي شريف تيغلادان
Jijel: Les années 80...
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- Création : vendredi 22 mai 2020 04:35
- Mis à jour : samedi 23 mai 2020 18:01
- Publication : samedi 23 mai 2020 06:35
- Écrit par MedSouilah
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Voici une belle image, un souvenir des années 80. La viande bio du veau qui avait reçu une alimentation saine et variée à 60 DA...
La boucherie du défunt Arrada Seddik.
Que de souvenirs...
Le 13 septembre 1957, tombait au champ d’honneur Nour Eddine Rebah DE SAINT EUGENE A BOUHANDES
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- Catégorie : Histoire
- Création : dimanche 17 mai 2020 18:35
- Mis à jour : dimanche 17 mai 2020 18:55
- Publication : dimanche 17 mai 2020 18:35
- Écrit par MedSouilah
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« Si nous venions à mourir, défendez nos mémoires ».
Didouche Mourad.
Le 13 septembre 1957, au cours d’un terrible accrochage entre l’armée de libération nationale (ALN) et l’armée française, dans le djebel Beni Salah, à Bouhandès, à quelques kilomètres au sud-ouest de Chréa, dans le massif blidéen de l’Atlas tellien, tombait, au champ d’honneur, pour l’indépendance du pays, l’arme à la main, Nour Eddine Rebah. Il était voltigeur au commando de la zone 2 de la wilaya 4.
Avant de s’engager dans la lutte armée, il était étudiant à l’université d’Alger, dirigeant des Jeunesses communistes et membre du Conseil de la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique (FMJD).
« Sa mort hante mes nuits » me confia le chef de la zone 2, Ali Lounici. Le souvenir de la mort au combat de Nour Eddine Rebah ne le quitta jamais.
Femme Berbère au moulin à Blé traditionnel.
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- Catégorie : Histoire
- Création : lundi 11 mai 2020 13:15
- Mis à jour : lundi 11 mai 2020 13:15
- Publication : lundi 11 mai 2020 13:15
- Écrit par MedSouilah
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C'est encore en utilisation en Tunisie, Algérie et Maroc.
ça donne de la semoule qui sera ensuite tamisé pour avoir diverse grosseur et même de la farine si les pierres ont une granulométrie assez fine.
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